En juillet 2025, c’est un véritable choc pour les 4,5 millions d’usagers franciliens : l’abonnement annuel Navigo bondit de **5,9 %**, passant de **827,20 € à 876 €**, alors même que l’inflation régionale frôle les **4,2 %**. À l’heure où chaque euro compte dans le budget des ménages, cette hausse résonne comme un coup de semonce, plaçant la mobilité au cœur des débats sur le pouvoir d’achat. Derrière le vote controversé d’Île-de-France Mobilités, se pose un dilemme aigu : financer les investissements colossaux du réseau ou préserver l’accès tarifaire à ce service public vital ?

Paris étouffe sous la hausse vertigineuse des factures d’énergie : +45 % pour l’électricité, +28 % pour le gaz en deux ans, et voilà 80 000 commerces de la capitale à bout de souffle. Fermetures en cascade (+7 % en un an), vitrines qui consomment jusqu’à 120 kWh/m²/an, marges vaincues par la flambée des coûts… Face à ce constat alarmant, la Région Île-de-France et la Ville de Paris dégainent un plan inédit : 100 millions d’euros de soutien pour verdir les boutiques d’ici 2025. Isolation thermique, éclairage LED, chaudières performantes, ventilation optimisée… Objectif ? Redynamiser le tissu local, créer 3 500 emplois dès 2026 et contribuer à la baisse de 40 % des émissions de CO₂ avant 2030. Plongeons au cœur d’un dispositif chirurgical pensé pour sauver le commerce de proximité et booster l’économie parisienne.

Paris change d’ère : là où s’élevaient autrefois d’imposantes tours de bureaux, naîtront demain des foyers vibrants. Avec un taux de vacance qui a bondi de 3 % à 8,5 % en cinq ans, la capitale est à la croisée des chemins. Le 20 juillet 2025, la Ville de Paris a misé gros : reconvertir 68 000 m² de plateaux tertiaires désertés d’ici la fin de l’année pour insuffler un nouveau souffle à l’économie locale et désamorcer la crise du logement. Plus qu’une opération immobilière, c’est une stratégie audacieuse de mixité sociale et de reconversion énergétique qui s’engage, ouvrant la voie à un Paris plus solidaire, durable… et résolument tourné vers l’avenir.

Paris vacille sous un nouveau séisme fiscal : le 14 février 2025, le Conseil de Paris a voté à 10 % – contre 5 % auparavant – la taxe sur les meublés touristiques, doublant ainsi l’effort demandé à Airbnb, chambres d’hôtes et petits hôtels. Après avoir généré 320 millions d’euros en 2024, ces locations de courte durée doivent rapporter 32 millions supplémentaires dès cette année pour financer logements sociaux et transports en commun. Cette mesure choc bouscule les acteurs du tourisme, soulève la grogne des hôtes et redéfinit les priorités municipales. Quel impact cette réforme aura-t-elle sur l’économie parisienne et le quotidien des habitants ? Plongée au cœur d’un tournant décisif pour la capitale.

Paris tremble sous le choc : pour la première fois depuis 2019, les prix de l’immobilier ont reculé de 0,5 % au 1er trimestre 2025 et de 3,2 % sur un an. Avec un m² moyen à 11 030 € et une taxe foncière en hausse de 8 %, la capitale, jusqu’ici cocotte-minute du marché, voit ses équilibres exploser. Entre des taux d’emprunt flirtant avec 3,10 % et la saturation du cœur historique, un nouvel ordre se dessine : opportunité pour certains, alerte pour d’autres. Plongeons au cœur de ce retournement inédit et de ses enjeux pour les Parisiens, les acteurs locaux et les investisseurs.

Paris entre dans une ère nouvelle où l’hébergement collaboratif se heurte brutalement aux besoins de ses habitants : dès février 2025, chaque logement principal ne pourra plus dépasser 60 nuitées Airbnb par an, sous peine d’amendes pouvant atteindre 50 000 €. Avec 75 000 offres de courte durée recensées fin 2024 (soit 10 % du parc résidentiel) et près de 30 000 logements promis à la réintégration, cette réforme inédite depuis 2015 promet de bouleverser l’équilibre entre tourisme et vie quotidienne. Au-delà des chiffres, c’est le visage même de l’économie parisienne — de ses commerçants de quartier aux familles monoparentales — qui se redessine. Plongeons dans ce tournant décisif qui pourrait bien libérer la capitale de la pression touristique tout en questionnant ses ambitions de mixité sociale et de dynamisme local.

Paris se transforme en un vaste chantier commercial : tandis que 4 500 boutiques ont déjà tiré le rideau en 2024 et que la fréquentation des artères du centre-ville dégringole de 12 %, la Mairie de Paris sort l’artillerie lourde. En moins de 48 heures, elle a annoncé un fonds de 150 millions d’euros pour redonner vie aux vitrines désertées et soutenir artisans et commerçants de quartier. Réactif, ciblé et résolument concret, le plan commerce 2025 se veut le coup de pouce indispensable pour préserver l’âme haussmannienne de la capitale et relancer l’économie de proximité. La question n’est plus seulement de freiner l’hémorragie, mais de réinventer le commerce de demain au cœur des rues parisiennes.

Paris bruisse d’inquiétude : ses trottoirs se vident, ses vitrines s’assombrissent. Hier, Anne Hidalgo et Valérie Pécresse ont sonné la charge en dévoilant un plan de 150 millions d’euros pour ranimer le commerce de proximité. Avec une chute de 12,3 % des ouvertures de boutiques entre 2019 et 2024, ce dispositif inédit ne se limite pas à un simple coup de pouce : il veut inverser une tendance historique. En moins de 48 heures, plus de 1 200 demandes de subventions ont déjà afflué, témoignant de l’urgence. À travers subventions directes, garanties d’emprunt et fonds d’urgence, Paris et l’Île-de-France misent sur une relance rapide et durable.

Plongeons dans les coulisses de ce plan « Revitalisation centre-ville », ses financements, ses mécanismes et ses enjeux pour redonner aux rues parisiennes leur éclat d’antan.

Paris fait face à un constat implacable : 13,5 % de ses commerces de proximité étaient vacants en mai 2025, laissant certaines rues presque silencieuses. Pour y remédier, la Ville dégaine un plan historique de 50 millions d’euros : aides à l’aménagement, loyers municipaux coupés de moitié, coaching digital sur-mesure… En quelques jours, la mairie a multiplié les communiqués, soulignant l’urgence de ranimer l’animation des quartiers. Au-delà du soutien financier, c’est un véritable pari sur l’âme parisienne et la vitalité de ses artères qui se joue cet été.

Paris, cœur battant de l’économie française, se transforme en terrain vague : pour la première fois, le taux de vacance des bureaux atteint 8,9 % à l’échelle municipale, soit plus de 1,8 million de mètres carrés de plateaux inoccupés. Un record historique qui fait vaciller les certitudes : télétravail galopant, vagues de livraisons massives à La Défense et renégociations de baux à la baisse plongent acteurs publics et privés dans l’incertitude. Comment la capitale, championne de l’immobilier tertiaire, en est-elle arrivée là ? Entre défi économique et réinvention urbaine, Paris est aujourd’hui le théâtre d’un paradoxe inédit – et la partie ne fait que commencer.